A la taverne.

L'Homme Elfe prit la parole:

"Nous nous sommes regroupé pour former un groupe d'aventurier, nous avons pas mal d'expérience derrière nous, dans notre pays nous sommes les meilleurs guerriers".

La Femme Elfe sourit:

"Soit un peu modeste parfois"

Le nain coupa la parole à La Femme Elfe:

"Ce n'est pas qu'il n'est pas modeste, c'est la vérité Ostiah"

La femme Elfe acquiesça d'un signe de tête. Puis le Centaure fit les présentations:

" Nous sommes trois guerriers : ghimlain le Nain, Anàrion l'Elfe et moi c'est Narmacil un Centaure comme vous avez pu le remarquer..."

Le groupe d'aventurier se mit à rire; Narmacil continua

Il y a 2 Archers : Elkantar le Faëls et Ostiah l'Elfe. Pour finir voici les 2 Mages : Angelika une femme et Turambar un Farfadet.

Le groupe salua l'orc

Turambar (le farfadet) répondit:

"Nous avons décidé de quitté notre pays car il ne ce passe plu rien, d'intéressant. Nous avons aussi décidé de repartir à zéro d'apporté nos connaissances à une autre civilisation."

Elkantar (le Faëls) dit:

"Nous voulons nous engager dans une milice car nous ne gagnons pas assez d'argent en tant qu'aventurier dans ce pays."

La jeune elfe entra dans la Taverne du Loup argenté, elle n'avait pas fait attention à son nom jusqu'à maintenant. Il faut dire qu'elle était un peu dans la lune en ce moment, il était vraiment temps qu'elle s'aère, elle étouffait un peu ici. Elle se dit qu'après un tour dehors dans les alentours, elle se sentirait mieux. Elle alla s'installa à une table, d'où elle pouvait voir le guerrier passer, au moment où il aurait terminé de s'entretenir avec le secrétaire.
L'aubergiste se présenta à elle, elle lui commanda à boire. Cela la fit sortir de son état pensif, à moins que ce ne soit l'agitation qu'avait soudain crée un groupe d'étrangers, qui mélangeait plusieurs races (dont deux de la sienne) Mais peut-être, ces elfes n'étaient pas du même peuple qu'elle, comme ils étaient de dos elle ne pouvait pas bien les observer. Elle vit ces gens discutait de choses sérieuses avec l'Orc, mais étant répugné par la vue de ces nains et farfadets, elle détourna le regard. Elle finissait son verre quand elle vit passer le guerrier. Alors elle se leva, oubliant déjà ce qu'elle venait de voir, et se rendit auprès du secrétaire.

Le groupe sourit en voyant leur camarade Elfe partir sans payer, leur plan avait marchés.

Ils saluèrent Orgor, prirent les papiers et partirent chez le juge Elfus.

(Suite dans le bureau du secrétaire...)

Un étranger. Le moine ne percuta pas immédiatement ses paroles, car la transe lui prenait pas mal de concentration, bien qu'elle lui permettait de se reposer avant tout. Sa pierre brillait faiblement, au travers de son front. De loin, on aurait pu le prendre pour un gros ver luisant si l'on ne faisait pas trop attention.

Les dires de l'aubergiste arrivèrent enfin à percer le mur de son esprit. Le Juge l'attendait... que lui voulait-il après l'avoir humilié plus bas qu'un esclave, heurtant au mieux sa fierté d'Equanime ?

D'une main, Therak balaya ces noires pensées, pour se relever, calmement. Il avait fait voeu de servir la cité d'Anirae, aussi tiendrait-il ce serment, jusqu'à ce qu'il retourne en pélerinage tout du moins. La vitesse... les hommes étaient toujours pressés quand il ne fallait pas...

Le Moine franchit le seuil du dortoir, saluant l'aubergiste et le remerciant au passage d'avoir transmis le message, et se dirigea vers le bureau du juge.

[ prochain post : bureau du secrétaire ]

L'elfe rentra en premier et s’assit à une table.

Le groupe de miliciens rentra dans la taverne et rejoint Ostiah.

Ils demandèrent sept bières à l'aubergiste.

Ils se mirent à parler:

"Je n'aime pas les gens d'ici" déclara Turambar, le farfadet

"Oui, moi non plu" répondit ghimlain, le nain.

"Silence, on va vous entendre!" murmura Narmacil, le centaure

"Si on a même plu le droit de parler!" grogna le nain

(suite du bureau du secrétaire )

Itarille entra dans l'auberge d'un pas pressant. Elle se dirigea au comptoir vers l'aubergiste. Quand tout d'un coup elle fit la grimace.

*Ne s'en iront-ils donc jamais !* se dit-elle lorqu'apparut dans son champ de vision la troupe de miliciens.
Mais comme elle le faisait toujours, elle préfera porter son regard ailleurs pour ne pas se laisser submergé par des sentiments négatifs qui troublerai son état d'esprit apaisé.

Elle s'adressa à laubergiste en essayant de parler le langage humain le plus audiblemant et clairemant compréhensible. Elle était en effet très cultivée, elle était capable de parler plusieurs langages, seulement cela ne devait pas être le cas de cet aubergiste, étant donné sa condition. Il faut dire que le langage elfique est très compliqué, mais c'est une si belle langue, si envoûtante.

" Je vous resalut aubergiste. Je tenais tout d'abord à vous présentez des excuses , je viens vous payer en retard, et vous avez dû croire que j'avais l'intention de vous berner mais il n'en est rien. En réalité j'attendais de m'entretenir avec le juge et étant si préssé je me suis précipité à son bureau pour qu'il puisse me recevoir, et c'estt ainsi que j'ai ommis de venir vous payer. Ce que je vais faire à l'instant. "Et elle lui donna ce qu'elle lui devait.


" Maintenant je désirerai autre chose s'il vous plaît. Je doi partir sur ordre du juge Elfus pour une quête avec le guerrier Thérak. J'aurais donc besoin de provisions. C'est pour un assez long voyage."

Elle attendit que l'aubergiste prépare sa commande.

La générosité soudaine de l'aubergiste provoqua son étonnement. Cela la destabilisa quelque peu, elle se rendit compte étant donné son attitude qu'elle s'était emporté et qu'il avait dû saisir le sarcasme de ses paroles.

Finalement, il ne devait pas être autant rancunier et attaché au biens matériels comme elle avait pu le pecevoir au début. Après tout ce n'était pas de sa faute s'il ne pouvait estimer la gravité de la situation dans laquelle elle se trouvait, il n'était en effet nullement concerné par les problèmes auxquels elles étaient désormais confrontés.

Peut-être devait-elle prendre cela pour une forme de pardon pour avoir ommis de le payer et ne le faire qu'après presque une heure. Son inquiétude était donc justifié. Peut-être n'était-ce pas la première fois que cela lui arrivait, de ce fait il était devenu méfiant.

Elle prit cela pour un cadeau pour lui dire qu'il n'avait aucune rancune avec elle. Elle lui paya donc les 8 po de la bourse, et 2 po en plus de son propre argent. Elle lui fit un grand sourire sincère pour montrer qu'elle s'était détendu, le remercia chaleureusement et prit avec les sacs de provisions. Elle était très chargé à présent.

* Vivement que je retrouve Thérak pour qu'il puisse m'aider à porter ça et l'installer sur les chevaux pour que l'on puisse enfin s'en aller*

Et elle quitta l'auberge.

-Suite de la porte du palais des Quêtes-

Suivant les indications nébuleuses mais néanmoins exactes du jeune homme, Eldalotë arriva bientôt à la taverne du loup Argenté. Bien que rétiscente à être en contact avec l'espèce humaine, elle ressentit un immense soulagement à la vue de l'auberge. Encore espérait-elle y trouver ce qu'elle recherchait : plus qu'une couche pour se reposer et une table pour se substanter, l'Elfe souhaitait aussi glâner quelques renseignements qui puissent la mettre sur la voie de sa soeur disparue... Sur ce dernier point, elle était certaine d'être contentée, faisant naturellement confiance à ses dons intuitifs exceptionnels : dès qu'elle avait pénétré dans cette ville, elle avait ressenti la puissance charismatique si propre à sa race, et avait su immmédiatement qu'Itarille n'était plus très loin...

Après être restée quelques minutes pensive sur le pas de la porte, elle se décida enfin à pénétrer dans la taverne, laissant sa monture à l'extérieur surveiller d'un air étrangement attentif le passage des badauds.

Les clameurs des voix et l'atmosphère enfumée des lieux faillirent bien la faire retourner sur ses pas. Mais Eldalotë se reprit rapidement et affronta d'un pas conquérant les regards insistants et peu innocents des habitués qui se trouvaient là. Elle se dirigea vers le comptoir de sa démarche chaloupée, le visage assuré et l'oeil aux aguets.

Elle attendit patiemment, chichement adossée au comptoir, attendant que l'aubergiste la remarque et vienne s'encquérir de ce dont elle avait besoin. Elle en profita pour observer plus soigneusement les caractères de ces humains dont elle n'avait jamais pu saisir la construction mentale profondément...

*... primaire* se dit-elle soupirant en son for intérieur, à la vue de deux gros lourdaux pleins comme des outres qui la regardaient d'un air bestial, un filet de bave s'écoulant de leur bouches.

*Je doute que ces deux-là aient des intentions profondément honorables* pensa-t-elle en réprimant une grimace de dégoût.

Elle détourna son regard des deux compères pour reporter son attention sur l'aubergiste dont la réaction ne se fit pas tarder. Voyant qu'il l'avait finalement remarquée, elle le fixa d'un air majestueux, se préparant à lui expliquer la raison de sa présence, ennuyée à l'idée de devoir se livrer à des tâches d'ordre si terre-à-terre.
Elle lui adressa un sourire des plus charmeurs, attendant poliment qu'il lui adresse la parole en premier...